Zèbre ou hypersensible, HPE, Asperger, Bipolaire, Borderline ?

HPI Autiste Asperger Bipolaire Hypersensible

Différences et caractéristiques des profils : zèbre (ou surdoué, haut potentiel, HPI, philo-cognitif) hypersensible, HPE (haut potentiel émotionnel), asperger, autiste, borderline, bipolaire…

Ce matin, j’ai reçu un message d’Emy sur Instagram. Elle me demandait qu’elle était la différence entre une personne hypersensible et surdouée et si un HPI était en fait un hypersensible qui n’était pas surdoué ? J’ai souri en lisant son message.

Il y a deux semaines, Sam m’a écrit pour me demander quelles sont les caractéristiques communes entre HPI et Bipolaire. Et Sarah, une amie, m’a un jour demandé le lien entre la personnalité borderline et les surdoués.

On se pose tous des questions lorsqu’on est en quête de notre identité.

HPI ? Hypersensible ? Borderline ? Asperger ? Qui suis-je ?

Il y a de plus en plus d’informations sur les profils atypiques, un peu partout sur le web et dans les médias. D’un côté, c’est très positif car cela donne de la visibilité à tous nos profils divers et variés et on commence, petit à petit, à accepter la neurodiversité. Mais, d’un autre coté ça devient très confus !

Le message d’Emy m’a fait sourire, un zèbre non surdoué ! Il m’a aussi interpellé. Toutes ces appellations, est-ce que ça brouille pas un peu les pistes ? Qu’est-ce qui se cache derrière ces profils ?

Essayons toutefois d’y voir plus clair avec des définitions puis des tableaux qui reprennent les caractéristiques de chacun. Mais, gardons à l’esprit que même les médecins ont du mal à identifier clairement certains neuro-fonctionnements.

Les fonctionnements atypiques

La douance (zèbre = haut potentiel = surdoué = hpi = philo-cognitif) est un fonctionnement atypique du cerveau
L’hypersensibilité 
Le HPE (Haut Potentiel Emotionnel). Pour moi (et ce n’est que mon avis fondé sur aucune étude) le HPE est un synonyme d’hypersensible et le Haut Potentiel Emotionnel en tant que tel n’existe pas.
L’Autisme. On parle de troubles du « spectre » de l’autisme (TSA), car le terme d’”autisme” recouvre une réalité très large, très variée et très hétérogène. Chaque personne peut se situer à des degrés différents dans le spectre de l’autisme, selon la fréquence et l’intensité de ses particularités. 
Le syndrome d’Asperger fait partie du champ des troubles du spectre autistique. Il en est une des quatre sous-catégorie. La moins « handicapante » dans l’intégration sociétal et les relations interpersonnelles. C’est un trouble du développement neurologique d’origine génétique. Il n’y a pas de déficience mentale chez les personnes avec un syndrome d’asperger.

La douance et l’hypersensibilité ne ne sont pas des troubles de la personnalité. La douance et l’hypersensibilité ne sont pas considérées comme des maladies mentales et ne sont pas répertoriées dans le DSM-5, (le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, en anglais : Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders). Comme elles ne sont pas considérées comme des maladies mentales, elles  sont peu connues des psychiatres. Les psychiatres sont des médecins, ils traitent des maladies mais pas des fonctionnements neuro-atypiques ce qui expliquent qu’il arrive que des personnes surdouées soient diagnostiquées Borderline ou Bipolaire.

L’autisme (incluant le syndrome d’Asperger) est cité dans le DSM-5  et n’est pas considéré comme une maladie mentale mais comme un trouble envahissant du développement.

Les troubles de la personnalité

Le trouble de la personnalité Borderline

Le trouble de la personnalité borderline est répertorié dans le DSM-5.  C’est un trouble qui se caractérise par un schéma omniprésent d’instabilité dans les relations, l’image de soi, les humeurs, le comportement et l’hypersensibilité à la possibilité du rejet et de l’abandon. Selon le DSM-5, les personnes atteintes de trouble de la personnalité borderline ne supportent pas d’être seules et peuvent recourir à des actes d’autodestruction pour gérer la solitude ou éviter d’être seules. Elles peuvent faire des efforts frénétiques pour éviter l’abandon, y compris créer des situations de crises. Par exemple, elles peuvent tenter de se suicider afin de communiquer leur détresse et de faire en sorte qu’on vienne les secourir et prendre soin d’elles. En plus d’une personnalité considérée comme étant limite, on peut retrouver des facteurs d’autres troubles comme la dépressions, les TCA (troubles du comportement alimentaire) la boulimie, l’anorexie, la scarification, la panique et les angoisses, un stress post-traumatique, une addiction a une ou plusieurs drogues, alcool, médicaments etc.

Toujours selon le DSM-5, le trouble de la personnalité Borderline serait influencé par plusieurs facteurs liés à l’hérédité et à l’environnement. Le trouble de la personnalité Borderline se trait en partie grâce à une thérapie. Les TCC (thérapie cognitivo-comportementale) obtiennent de très bons résultats sur ce type de patients.

Le trouble de la personnalité Bipolaire

Le trouble de la personnalité bipolaire (hypomaniaque) est caractérisé par une alternance de période de grande euphorie et de grande tristesse. Dans le langage médical c’est une alternance de dépression et de manie. Le DSM-5 distingue 2 types de troubles bipolaires, type 1 et type 2.

Une personne atteinte du trouble bipolaire de type 1 présente :
Au moins 1 épisode maniaque qui empêche la personne d’accomplir ses activités quotidiennes et peut inclure des idées délirantes (la personne ne peut pas distinguer le réel de l’irréel) et généralement, plusieurs épisodes dépressifs.
 
Une personne atteinte du trouble bipolaire de type 2 présente :
Au moins 1 épisode maniaque moins grave (hypomaniaque) et plusieurs épisodes dépressifs sévères.
 
Les médecins n’ont toujours pas identifié ce qui déclenche un trouble de la personnalité bipolaire (détectée généralement à l’adolescence et chez les jeunes adultes (moins de 30 ans). La bipolarité est traitée par le biais de régulateurs d’humeur (lithium ou valproate) et par des séances de thérapie chez un psychologue.

Peut-on être HPI et hypersensible ?
HPI et Borderline ?
HPI et Asperger ?
HPI, Asperger et Hypersensible ?
HPI et Bipolaire ?
Hypersensible et Borderline ?
Asperger et Hypersensible ?

HPI et hypersensible ?

Comme je le suis je dirai sans hésiter oui !

HPI et Asperger ?

Oui l’Auteure Alexandra Reynaud possède cette double caractéristique et en parle dans son blog les Tribulations d’un petit zèbre. 

HPI et Borderline ?

Oui, la psy avec qui j’ai travaillé en thérapie pendant 4 ans me l’a confirmé. On peut avoir un parent Borderline et être soi-même zèbre.

HPI et Bipolaire ?

Je ne sais pas, je suis toujours en attente de réponse mais je sais, pour être concernée dans mon entourage, qu’on peut avoir un parent bipolaire et être HPI

Pour les autres croisements d’atypismes, je suis encore en attente de réponse de la part de spécialistes. Je ne suis pas très calée sur les troubles autistiques et les troubles de la personnalité.

Je vous propose de regarder en détail les caractéristiques de chacun des profils identifiés pour nous aider à comprendre ce qu’ils ont en commun et ce qui les différencient. Sachant que le cerveau n’est pas une science exacte, bien au contraire, il est extrêmement complexe !

Prenons ces caractéristiques avec des pincettes et pas de conclusion hâtive sans diagnostic. Seul un professionnel peut affirmer l’une de ses pistes.

En apparence, on peut penser que les caractéristiques des HPI et du Syndrome d’Asperger s’opposent, là ou celles du HPI et de l’Hypersensible se complètent. Alors un HPI autiste, ça donne quoi ?

HPI et Asperger

Une personne à la fois HPI et qui a un syndrome d’Asperger aura des caractéristiques de l’un et de l’autre ! Par exemple les facilités d’apprentissage, l’exigence, un foisonnement intellectuel et un besoin de routine, de l’empathie dans les ressentis mais une maladresse sociale et parfois des facilités à interpréter les émotions ! Lorsqu’on a des doubles ou des triples exceptionnalités cela complique les diagnostics.

Conclusion sur la neurodiversité 

Pour conclure sur l’ensemble des ces neuro-fonctionnements, il semblerait qu’il y ait un lien héréditaire entre eux. Des parents HPI qui ont des enfants HPI. Des parents souffrant de trouble de la personnalité bipolaire qui ont des enfants HPI. Une fratrie avec un HPI et un hypersensible. Une famille dans lesquels il y a des cousins HPI, hypersensibles et borderlines. Maintenant, on attend les études qui valident ces phénomènes !

Qui sait, peut-être qu’un jour on arrivera à percer tous les mystères de notre cerveau !

J’espère que cet article vous aura aider à y voir un peu plus clair. Vous pouvez retrouver mes interrogations sur les HPI et l’hypersensibilité, mes recherches et mon parcours dans mon livre, en partie inspiré du blog (mais pas que) Suivez le Zèbre en auto-édition.

Sources bibliographiques :
– Association Américaine de psychiatrie : DSM-5, Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (Elsevier Masson)
– Fanny Nusbaum, Olivier Revol, Dominic Sappey-Marinier : Les Philo-Cognitifs, Ils n’aiment que penser et penser autrement (Odile Jacob)
Jeanne Siaud-Facchin : Trop Intelligent pour être heureux, L’adulte surdoué (Odile Jacob)
– Mel Poinas, Suivez le Zèbre, Découvrir et apprendre à vivre avec son haut Potentiel (Auto-édition)
– Paul E Jones : La vérité sur les troubles bipolaires, La vie avec des hauts et bas (J.Lyon)
– Dominique Page : Borderline, retrouver son équilibre, Guide pour s’aider soi-même (Odile Jacob)
– Isabelle Filliozat : Que se passe-t-il en moi, Mieux vivre ses émotions au quotidien (Poche Marabout)

Tu peux aussi trouver plus d’infos, de ressources et d’outils sur le Haut Potentiel dans le livre témoignage de Mel POINAS. Avec beaucoup d’humour, Mel raconte la découverte de son Haut Potentiel et les routines qu’elle a mis en place pour enfin trouver sa place !

Le livre

Écrit par une HPI !
Un témoignage et des solutions concrètes pour découvrir, comprendre et apprendre à vivre en étant HPI.

Pour aller plus loin, lire aussi

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  1. Hello,
    Merci pour cet article. Il y a une imprécision malheureusement qui me gêne car on ne parle pas de trouble de la personnalité pour le trouble bipolaire mais de trouble de l’humeur 🙂

  2. Nappey Nathalie

    Bonjour,
    Merci pour cet article… je tatonne, et je me documente et j’apprends ! Maman d’un jeune adulte Zèbre de 20 ans (« diagnostiqué » il y a 2 ans), j’aime votre approche et votre livre m’a beaucoup aidé à comprendre son fonctionnement !
    Je pense que mon mari est également Zèbre … reste à le convaincre de passer un test (même à 55 ans 😀)
    Au plaisir de vous lire….

  3. Bonjour,
    Merci pour cet article sur lequel je suis tombé en recherchant HPI et bipolarité (mais je connaissais déjà le blog suite à votre intervention dans l’émission « Ca commence maintenant » sur France 2 le 14/9, à voir rapidement en replay pour celles et ceux qui ne l’ont pas vu et que le sujet intéresse).
    Il n’apporte pas de réponse à la question que je me posais sur le lien entre HPI et bipolarité, mais je peux par contre répondre à la question la question que vous vous posez : peut-on être zèbre et bipolaire ? La réponse est « oui », j’en suis un exemple.
    J’avais identifié depuis de nombreuses années que j’avais une tendance à la bipolarité (de type 2) et j’étais traité pour cela depuis 7 ans par des doses légères mais régulières d’anti-dépresseurs. A défaut de régler mon instabilité d’humeur, ceux-ci avaient au moins eu l’effet d’amoindrir la sévérité des phases dépressives (celles-ci n’allant plus jusqu’à des crises d’angoisse incontrôlables mais juste des troubles tels que ceux indiqués dans la fiche sur la bipolarité = hypersomnie, état dépressif, perte de confiance en soi, troubles digestifs et intestinaux…). Beaucoup plus récemment (au printemps dernier), suite à une démarche de mon fils qui rencontrait des difficultés, s’est renseigné sur Internet (ce qui n’existait pas dans mon « jeune » temps, j’ai 57 ans !) et est allé à la rencontre d’un psychologue qui, après test, a confirmé son HPI (ce dont il se doutait déjà), cela m’a interpelé et j’ai fait de même, sachant qu’il y a une part d’hérédité dans le HPI et parce que, ayant suivi quelques liens qu’il m’avait passés, je me reconnaissais dans de nombreuses descriptions. Et le test a révélé…. que je suis également HPI, hétérogène comme a priori pas mal de gens (notamment ceux ayant témoigné dans l’émission) et avec des « profils » proches entre mon fils et moi (les chiens ne feraient pas des chats ?).
    Donc on peut effectivement être zèbre et bipolaire et ce que je peux dire c’est que ce n’est pas facile à vivre au quotidien, ni pour soi, ni pour l’entourage, car, je pense, que l’un peut être la « caisse de résonance  » de l’autre. Et ce, d’autant plus quand on l’ignore. Je suis, depuis, après consultation d’un psychiatre; passé des anti-dépresseurs à un thymo-régulateur. Il est encore trop tôt pour dire si cela sera efficace pour enrayer ces variations d’humeur et me laisser « profiter sereinement » de mon HPI. A suivre…

  4. Bonjour, merci pour l’article, cependant en tant que personne neuroatypique et souffrant du trouble de la personnalité borderline, je trouve injuste de parler de « chantage affectif » et de « culpabilisation ». En effet, l n’y a AUCUNE manipulation consciente d’autrui chez le borderline, mais une souffrance intense liée au sentiment de vide, de vulnérabilité et d’abandon, qui conduit, et ce de manière totalement impulsive et contre-productive, à l’expression brute d’un BESOIN affectif très important et immédiat qui, s’il n’est pas satisfait, induit une souffrance telle que la personne pense REELLEMENT au suicide, ce qui favorise ironiquement ces conclusion hâtives et très dommageables de la part de l’entourage! Et donc la solitude et la dépression de la personne, ce qui alimente le cercle vicieux, etc. Bref, c’est vraiment dommage de tomber dans ces préjugés erronés, qui contribuent je crois à aggraver le mal-être souffrance du TPL. Bien à vous

  5. Hey,
    Merci pour l’article, riche en infos mais également un peu old school quand à l’autisme. Je sais que tu as précisé que tu connaissais moins ce syndrome, mais sache que les symptômes comme « absence ou manque d’empathie » sont très loin d’être partagés par la majorité du spectre. Juste dans ma famille : il y a mon petit frère, autiste non verbal diagnostiqué depuis qu’il a deux ans et demi, il adore le contact visuel et les câlins de celles et ceux qu’il aime. Mon père est Apserger, diagnostiqué a plus de 60 ans ; taciturne oui, mais pas quand il s’agit d’un de ses sujets phares, là on peut plus le calmer ! Et ça c’est le cas de la plupart des personnes autistes que je connais ; on est obsessionnels quand on aime et ça peut même devenir redondant pour les proches.. Pour finir il y a moi même : diagnostiquée bipolaire il y a 4 ans, les thimoregulateurs fonctionnent plutôt bien mais je me sens toujours aussi décalée de la masse. Ma psychiatre penche plutôt pour un diag HPI mais moi je sais que c’est l’autisme car il y a trop de symptômes qui lui sont propres: écholalies dans la tête, hypesenbilité, fatigue mentale suite à une journée trop sociale avec beaucoup de personnes à regarder dans les yeux, besoin extrême de rituels,..
    À côté de ça j’ai des amis, je suis autrice et comédienne, hyperempathique (un autre trait commun de l’autisme, malgré ce qu’en disent les vieilles études !)
    Malheureusement en France nous sommes très en retard sur l’autisme, les tests sont hors de prix , la prise en charge presque nulle.. affaire à suivre!

  6. Bonjour,
    Pour info les personnes autistes sont douées d’empathie. C’est juste le processus et l’expression de cette empathie qui est différente.
    Distinguer Asperger et autistes non verbaux est aussi une maladresse les troubles du spectre autistique ne se classent pas de cette façon. Mais à pat ça article intéressant.

  7. Je me découvre au fur et à mesure des années hypersensible (peut être zèbre… mon syndrome de l imposteur m évite sans doute de l admettre 😉 et un petit cote borderline sur les bords (des suivis psy, de la meditation, un grand intérêt pour la spiritualité qui me permettent de canaliser tout ca) mais ce qui est troublant c est que mon frère est diagnostiqué borderline et que mon compagnon est sans doute bipolaire (en refus d un diagnostic medical) et que je suis professionnelle dans le domaine de l autisme….. comme quoi, tout est lié… 😉

  8. Bonjour, Je me permet de commenter car j’ai la repose à la question , peut on être bipolaire et HPI. La réponse (tu t’en doutes) est oui. J’ai la chance d’avoir les deux casquettes. La sensibilité exacerbé des Hpi et la tendance à la dépression des bipolaires et vraiment top, rajoutes à ça la tachypsychie (présent sur les deux troubles) et y a pleins de bon moments ! Plus sérieusement, les deux troubles ce ressemble sur beaucoup de points, surtout en phase d’hypomanie. Je sais que dans ces moments là je suis vraiment « a part », je sors complètement du cadre et en société je n’ai aucun contrôle sur moi même, certain vont me trouver fascinant mais la plus part vont surtout me trouver fatiguant. En famille ou quoi c’est compliqué aussi, je dis très facilement des choses que je regrette, mon cerveau est intenable, couplé à la logorrhée, c’est boulettes sur boulettes.

  9. Bonjour,

    Je m’appelle Julie, j’ai 29 ans, et j’ai aussi un profil neurologique atypique.
    Une psychologue, Angélique Ritter, m’a diagnostiqué une désharmonie évolutive.
    Apparemment, je ne rentre pas dans le spectre de l’autisme parce que je n’ai pas
    toutes les caractéristiques.

    J’ai beaucoup de mal à gérer mes émotions, et mon rapport aux autres est assez
    compliqué. Il me faut plus de temps pour comprendre certaines choses et mon temps
    d’adaptation est plus long. Quand je suis face à un gros changement ou quand je perds
    mes repères, je peux faire des grosses crises d’angoisses!

    Je suis à un moment dans ma vie où je suis face à beaucoup trop de changements
    d’un coup! Je ne sais pas comment gérer cela, je suis complètement submergé par mes
    angoisses! J’ai beau être suivie par une psychologue et un psychiatre et avoir un traitement,
    je n’arrive toujours pas à sortir de l’œil du cyclone!

    J’ai peur de ne jamais arriver à gérer ma particularité, elle m’handicape autant dans ma vie
    professionnelle que personnelle! A cause de ma dépression, j’ai dû être en arrêt maladie pendant au moins 8 mois! Je peux vous dire que la reprise n’est pas facile, je suis tout le temps fatiguée!

    Est-ce que vous pourriez me donner des conseils qui m’aideraient à reprendre le contrôle de ma vie si vous plait? Parce que je me sens complètement démunies et perdue! Je vous remercie de votre intention et espère avoir bientôt une réponse de votre part.

    Cordialement,

    Julie.

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