Reconnaître un pervers narcissique en couple ?

Reconnaitre un pervers narcissique

Article mis à jour le 21 février 2023

Bienvenue sur Suivez le Zèbre, le blog dédié au HPI et à la neurodiversité. Si tu es là, c’est certainement que tu as des doutes sur une personne de ton entourage ! Est-ce qu’il est juste un manipulateur, un mytho ou est-ce vraiment un pervers narcissique ?

La dent cruelle de la douleur n’est jamais plus venimeuse que lorsqu’elle mord sans déchirer la plaie.

Source : William Shakespeare, oeuvres complètes. Vol. 6 : Le Roi Jean. Richard II. Henri IV. Henri V. Acte 1 scène III.

Les relations amoureuses sont souvent complexes, mais les relations avec un pervers narcissique peuvent être particulièrement difficiles et toxiques.

Les pervers narcissiques sont des personnes qui ont un trouble de la personnalité caractérisé par un sentiment de grandeur et un manque d’empathie envers les autres. Ils peuvent être très manipulateurs, toxiques, menteurs et cherchent à contrôler leur partenaire.

Pervers narcissique, un terme galvaudé par la société ?

Le terme pervers narcissique ayant été galvaudé depuis quelques années, c’est d’autant plus difficile pour les personnes qui côtoient ou ont vraiment côtoyées un profil pervers narcissique de se sentir crédibles et écoutées !

Il est important de pouvoir reconnaître les signes avant-coureurs d’un pervers narcissique pour pouvoir éviter les conséquences néfastes de leur comportement.

Les signes d’un partenaire pervers narcissique en couple

Voici quelques signes qui peuvent indiquer qu’une personne est un pervers narcissique en couple :

1- Un ego surdimensionné :
Les pervers narcissiques ont une image de soi exagérément positive et un sentiment de grandeur. Ils ont besoin d’être admirés et de recevoir de l’attention, et ont tendance à être méprisants envers les autres.

2- L’amour conditionnel : Les pervers narcissiques ont tendance à aimer leur partenaire de manière conditionnelle. Ils ne peuvent aimer que s’ils reçoivent ce qu’ils veulent et sont souvent très exigeants envers leur partenaire.

3- La manipulation : Les pervers narcissiques sont très habiles pour manipuler leur partenaire. Ils peuvent utiliser des tactiques telles que la culpabilisation, la flatterie, la colère ou le chantage pour obtenir ce qu’ils veulent.

4- L’absence d’empathie : Les pervers narcissiques ont du mal à ressentir de l’empathie pour les autres, ce qui les rend incapables de comprendre les émotions et les besoins de leur partenaire. Ils ont tendance à être insensibles, indifférents et peuvent même parfois être cruels.

5- La domination : Les pervers narcissiques cherchent à dominer leur partenaire et à être en position de supériorité. Ils peuvent être très jaloux et possessifs, et peuvent chercher à isoler leur partenaire de sa famille et de ses amis.

6- La critique constante : Les pervers narcissiques ont souvent une opinion très élevée d’eux-mêmes et peuvent être très critiques envers leur partenaire. Ils peuvent critiquer leur apparence, leurs compétences ou leur personnalité, ce qui peut miner l’estime de soi de leur partenaire.

7- Les mensonges : Les pervers narcissiques peuvent réécrire l’histoire pour s’adapter à leur propre narration, même si cela signifie nier la réalité ou mentir. Ils peuvent également cacher des informations importantes à leur partenaire pour les manipuler.

8- La gaslighting : Les pervers narcissiques peuvent utiliser la gaslighting pour faire douter leur partenaire de sa propre réalité. Ils peuvent nier des événements ou des conversations qui ont eu lieu ou faire passer leur partenaire pour fou.

Jeu de pouvoir : Les pervers narcissiques aiment le pouvoir et le contrôle. Ils cherchent à dominer les autres et à être en position de supériorité. Ils peuvent également être très jaloux et possessifs.

Important

Si tu penses être en présence d’un pervers narcissique, il est important de prendre des mesures pour t’en protéger. Attention aux relations fusionnelles qui sont souvent des pièges en amitié comme en amour.

Reconnaître un pervers narcissique en couple

Tu es en couple ou tu as un(e) ami(e) en couple avec quelqu’un et ça ne se passe pas super bien avec son conjoint … Toi ou ton ami(e) avait tellement changé depuis que vous êtes en couple avec cette personne que tu te demandes si il ou elle ne serait pas susceptible d’être un profil pervers narcissique.

À retenir

On parle au masculin mais le pervers narcissique peut-être une femme comme un homme.

Une relation amoureuse avec un pervers narcissique finit toujours dans une profonde souffrance et douleur. Avec un pervers narcissique ce n’est pas une probabilité c’est une certitude !

Conjoint Pervers Narcissique ou connard ?

Avec une personne avec qui ça ne va plus, tu peux être en colère un moment, tu as pu avoir envie de le flinguer et puis après ça passe… Ou alors, tu te rends compte que vous n’êtes plus en phase, vous en parlez, vous essayez de faire des efforts et quand ça ne matche plus, chacun prend ses affaires et s’en va.

Ce qui va faire la différence entre un conjoint menteur, pas sympa et un manipulateur toxique c’est ton ressenti. C’est toi qui vis avec au quotidien. C’est toi qui subis régulièrement ses attaques sournoises.

Ensuite, il y a des signes qui ne trompent pas lorsqu’on vit avec un pervers narcissique. Des situations, des malaises, des incompréhensions. L’impression d’être dans le brouillard et fatiguée en permanence, de ne plus savoir ce qu’on doit dire ou faire. Ce fameux décervelage qui a lieu suite au gaslighting. Une culpabilité permanente et une sensation d’angoisse, d’être aux abois.

Lorsqu’on n’est plus en phase avec son conjoint, on peut ne plus être épanouie, se sentir malheureuse, plus en phase mais on est toujours libre d’agir et surtout libre de ses pensées… Avec un pervers narcissique on devient littéralement une marionnette. On se sent comme pris au piège.

Comment le piège se met-il en place ? Pourquoi est-on attiré par un pervers narcissique ?

Comprendre la dépendance affective

Si d’emblée tu te sens concernée par la dépendance affective, tu seras une cible privilégiée par les manipulateurs.

Les mécanismes de la dépendance affective

La dépendance affective est un trouble psychologique qui se caractérise par un besoin excessif de l’attention, de l’approbation et de l’affection d’une autre personne. Les personnes souffrant de dépendance affective ont souvent une forte peur de l’abandon, une faible estime de soi et des difficultés à être seules. Elles peuvent avoir des relations amoureuses malsaines, déséquilibrées et dysfonctionnelles, et peuvent avoir du mal à établir des limites saines.

La dépendance affective peut avoir des causes variées, notamment des expériences traumatiques de l’enfance, des relations amoureuses ou familiales dysfonctionnelles, une faible estime de soi, des troubles de l’attachement, des troubles de l’humeur, des problèmes de santé mentale ou des dépendances.

Les symptômes de la dépendance affective peuvent inclure :

  • Un besoin excessif de l’attention et de l’approbation d’une autre personne
  • Une peur intense de l’abandon et de la solitude
  • Une difficulté à établir des limites saines dans les relations
  • Des relations amoureuses ou amicales déséquilibrées et dysfonctionnelles
  • Une faible estime de soi et une dévalorisation de soi
  • Un comportement de recherche constante de réassurance et de validation
  • Un manque de confiance en soi et dans les autres
  • Des émotions intenses, souvent déclenchées par des situations relationnelles

La dépendance affective peut être traitée avec l’aide d’un professionnel de la santé mentale. Les thérapies comportementales et cognitives peuvent aider à identifier les pensées et les comportements dysfonctionnels, à développer des compétences en matière d’estime de soi, à améliorer la communication et à apprendre à établir des limites saines dans les relations.

Les groupes de soutien peuvent également être utiles pour rencontrer d’autres personnes qui luttent contre la dépendance affective et pour recevoir des conseils et un soutien supplémentaires.

À retenir

Il est important de reconnaître que la dépendance affective peut être un trouble difficile à surmonter, mais avec le temps, la patience et les efforts, il est possible d’établir des relations saines et épanouissantes.

Dépendance affective et Pervers Narcissique

Le pervers narcissique va créer une dépendance affective qui lui assure une emprise complète sur vous. Un gars ou une fille normale serait super flippés de vous voir complètement dépendant affectif de lui ou d’elle. C’est au contraire ce que cherche le pervers narcissique.
L’état dans lequel le pervers narcissique va vous mettre, une personne saine ça la ferait fuir…

Si tu es ou as été en relation avec un pervers narcissique cela fait de toi une victime. L’accepter est la première étape pour s’en sortir !

Après quelques mois et surtout quelques années passés avec un pervers narcissique, tu as l’impression de ne plus être toi-même. Là, tu es sans cesse entre peur, colère, angoisse, tristesse, peur angoisse, colère, tristesse

Pervers Narcissique : une relation à sens unique

Il y a souvent dialogue dans un couple même avec des hauts et des bas…

L’absence de dialogue

Dans une relation avec un pervers narcissique il n’y a pas de dialogue. Et tu ne peux pas partir, c’est comme si tu étais scotchée parce que tu penses que sans cette personne tu n’es plus rien ! 

C’est comme ces produits qu’on voit parfois dans les séries ou les films, tu es conscient de ce qui se passe mais tu es figé, incapable de bouger…

Pervers narcissique, le double visage

Le beau visage du début après quelque temps, tu le revois seulement en présence d’autres personnes ! Mais à la maison, à huit clos, ce sera de plus en plus cruel

Tu essayeras de lui faire remarquer, de comprendre, de changer, de trouver des solutions pour retrouver la personne merveilleuse du début ! Tu essayeras de dialoguer… Mais tu seras toujours face à un mur… Parfois il lâchera un oui tu as raison mais ce sera que pour avoir la paix et ce sera sûrement pire après…

Plus tu essayeras de comprendre plus le mur va s’élever !

Vivre après une rupture avec un pervers narcissique

Quitter un pervers narcissique : choc post-traumatique et douleur

La souffrance, le traumatisme, le choc post-traumatique, la peur, la sensibilité, les angoisses, parfois la dépression, et pour certain(e)s les tentatives de suicide, sont réels après ce type de relations.

A la différence d’une relation entre deux personnes plus ou moins saines, une relation avec un pervers narcissique laisse des traces, comme lorsqu’on a vécu avec une personne violente physiquement.

Contrairement aux victimes de violences physiques, les cicatrices ne sont pas visibles, ça ne veut pas dire qu’elles n’existent pas et que ça n’a pas eu lieu

Pervers Narcissique et violences psychologiques

La difficulté à faire reconnaître les violences psychologiques par la justice est un problème pour les victimes de PN. Les pervers narcissiques le savent très bien et ils en jouent. Ils sont très procéduriers et s’arrangent avec la justice car la manipulation mentale reste un sujet très tabou.

Pour conclure sur les Pervers Narcissiques

En conclusion, la reconnaissance des signes avant-coureurs d’un pervers narcissique peut aider à protéger les personnes des comportements toxiques et nuisibles.

En sachant reconnaître les signes, vous pouvez vous protéger et prendre les mesures nécessaires pour éviter les conséquences néfastes du comportement d’un pervers narcissique.

Tu souhaites plus de caractéristiques sur les pervers narcissiques ?

Tu peux aussi trouver plus d’infos, de ressources et d’outils sur le Haut Potentiel dans le livre témoignage de Mel POINAS. Avec beaucoup d’humour, Mel raconte la découverte de son Haut Potentiel et les routines qu’elle a mis en place pour enfin trouver sa place !

Le livre

Écrit par une HPI !
Un témoignage et des solutions concrètes pour découvrir, comprendre et apprendre à vivre en étant HPI.

Pour aller plus loin sur les pervers narcissiques

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  1. Personnellement, je n’y crois pas à cette explication. Certes on peut avoir du mal à être bien dans sa peau mais de là à dire ou à sous-entendre qu’on devient des manipulateurs à cause de ça, je n’y crois absolument pas. De plus, je crois véritablement que c’est une pathologie inventée par des journalistes ou ce style de personne. Je juge donc le raisonnement infondé, et je vais le développer, lorsqu’on dit que dans le dialogue les « pervers narcissiques » empêchent les autres de partir, c’est faux car je crois plutôt que si ce genre de personne, vraiment atteinte par cette maladie voudrait partir, elles le feraient.
    Alors oui, c’est vrai…un couple ne peut être parfaitement heureux si l’un des deux à du mal à s’accepter comme il est mais c’est une passe que grand nombre de personnes connaissent dans leur parcours de vie.
    En parlant de jalousie, elle est omniprésente dans les jeunes couples (dès l’âge de 14 ans) mais je ne peux pas concevoir le fait de dire que l’un des symptômes de la pervertie narcissique soit la jalousie « maladive ». Bref, l’article est fort intéressant mais alors, la question qui me vient à l’esprit est celle-ci: « Que dois-je faire si je présente 75% des symptômes ? » pas de réponse immédiate à ce genre de question mais des filles qui disent ça à leurs ex-petits-amis n’ont pas conscience du désordre mental et de l’intégrité morale qu’elles exercent sur eux. Je suis persuadé que certaines personnes correctes mais au parcours de vie des fois bien difficiles, pourraient mettre fin à leur jours rien qu’à entendre le mot « pervers », peu de personnes iront plus loin… C’est terriblement impressionnant. Peut-être faudrait-il supprimer tous les sites qui parlent de ce phénomène car il faut renommer cette pathologie que je juge inventée!

    1. Bonjour Mayoyoy87.
      J’ai relu mon article avant de vous répondre. Je l’ai relu parce qu’à la lecture de votre commentaire je ne comprenais pas ce que vous vouliez dire. Vous contrez des arguments sur les PN qui visiblement ne viennent pas de mon blog… Vous avez peut-être trouvé des infos ailleurs, mais en tout cas je souhaitais revenir sur votre commentaire car il y a quelques petites mentions que j’aimerais rectifier.

      « on peut avoir du mal à être bien dans sa peau mais de là à dire ou à sous-entendre qu’on devient des manipulateurs à cause de ça, je n’y crois absolument pas. »
      Nul part dans mes articles j’ai dit qu’on devenait pervers narcissiques car on était mal dans sa peau. Sinon une grande partie des zèbres qui viennent sur ce site auraient pu virer sacrément de bord ! Heureusement que tous les gens mal dans leur peau ne finissent pas PN, on serait mal barrés. Je le dis dans l’article, on ne sait pas vraiment pourquoi et comment cette pathologie émerge. Même si certains spécialistes dont Racamier ont essayé, ça reste très abstrait et très freudien.

      Une phrase qui a du mal à passer > « Une pathologie inventée par les journalistes ou ce style de personnes ? » Là encore, je ne suis pas sûre de vous suivre ?
      Je ne suis pas journaliste, donc je le prends pas pour moi, mais ça me chagrine de voir votre défiance par rapport aux gens qui exercent ce métier ! Quel genre de personnes sont les journalistes, et du coup leurs « semblables » ? ça ressemble un peu beaucoup à des apriori et à un jugement tout ça.

      « Je juge donc le raisonnement infondé, et je vais le développer, lorsqu’on dit que dans le dialogue les “pervers narcissiques” empêchent les autres de partir, c’est faux car je crois plutôt que si ce genre de personne, vraiment atteinte par cette maladie voudrait partir, elles le feraient. »
      Hum hum, gros développement, gros argumentaire, grosse démonstration ! Là encore, j’essaye de comprendre votre phrase et justement votre raisonnement, mais j’ai beau relire, je ne comprends pas…

      En parlant de jalousie, elle est omniprésente dans les jeunes couples (dès l’âge de 14 ans) mais je ne peux pas concevoir le fait de dire que l’un des symptômes de la pervertie narcissique soit la jalousie “maladive”.
      Là encore, on est dans des généralités, pourquoi la jalousie serait-elle omniprésente chez les jeunes couples ?
      Tous les jeunes d’aujourd’hui, avec en plus un âge précis 14 ans (???) seraient jaloux ! Quelle triste vision de la jeunesse !
      Ensuite on parle de perversion narcissique pour la pathologie non de pervertie. Quand à ne pas concevoir que la jalousie maladive soit un des symptômes de la perversion narcissique, c’est votre droit… D’ailleurs Isabelle Nazare-Aga dans sa liste dit « il peut être jaloux » et ne dit pas c’est un jaloux maladif. Moi non plus, je ne dis ça dans aucun de mes articles.

      Bref, l’article est fort intéressant mais alors, la question qui me vient à l’esprit est celle-ci: “Que dois-je faire si je présente 75% des symptômes ?”
      Si vous présentez 75% des caractéristiques, je vous conseille fortement de vous remettre en question voire même d’aller consulter.

      Pour la fin de votre article :
      pas de réponse immédiate à ce genre de question mais des filles qui disent ça à leurs ex-petits-amis n’ont pas conscience du désordre mental et de l’intégrité morale qu’elles exercent sur eux. Je suis persuadé que certaines personnes correctes mais au parcours de vie des fois bien difficiles, pourraient mettre fin à leur jours rien qu’à entendre le mot “pervers”, peu de personnes iront plus loin…
      Bon là encore, malgré toute ma bienveillance et ma bonne volonté, je ne saisis pas tout ce que vous avez voulu dire.

      « Peut-être faudrait-il supprimer tous les sites qui parlent de ce phénomène car il faut renommer cette pathologie que je juge inventée. ».
      Je ne suis pas qu’auteure de ce blog, je travaille dans le web. Si vous êtes arrivés sur mon site, et notamment sur cet article en particulier, c’est que vous avez fait une recherche google avec des mots clés contenant le mot pervers narcissique. Pourquoi venir sur un site qui parle de pervers narcissique si finalement vous ne croyez pas à cette pathologie et que vous voulez faire supprimer tous les sites qui en parlent ?
      C’est effectivement un peu strange !
      Vous n’y croyez pas, c’est votre droit et votre point de vue. Par contre, je n’accepte pas que par votre commentaire, vous veniez dénigrer :
      1- les journalistes (et ce style de personnes)
      2- les jeunes (de 14ans et +) et leur jalousie pathologique
      3- les personnes ayant été victimes de PN que vous traitez de mythos puisque, d’après vous, cette pathologie n’existe pas …
      4- Moi, en me demandant insidieusement de supprimer mon site puisqu’il parle de PN.

      J’ai choisi de poster votre commentaire, d’y répondre. J’ai créé ce site pour aider les gens qui en ont besoin. C’est la seule et l’unique chose qui me tient à coeur.
      Vous n’avez pas besoin de mon site, je vous invite à ne surtout plus y revenir.

      Mel

  2. MEL d’abord merci pour ton site et les articles présents, merci aussi pour ton honnêteté et la clarté de tes propos 🙂
    Je n’ai pas l’habitude d’écrire dans les forums et autres, mais après avoir lu le commentaire de ce Mayoyoy87, pour une fois, j’ai eu envie d’intervenir :
    Comme tu disais très justement dans un de tes articles, si tu sens qu’un truc cloche dans la logique,, fais-toi confiance.. J’ai ressenti exactement la chose en lisant son commentaire. Alors, tu n’as pas eu besoin de quelqu’un pour réagir, mais je voulais juste apporter mon soutien à ta réponse, en signe de solidarité zébrée 🙂

  3. Oui en effet c’est pas très clair mais je ne suis pas du tout mêlé à cette pathologie. Cependant j’ai un ami qui a quitté sa petite-amie et elle s’est fait un plaisir de lui dire que c’était un pervers narcissique mais je trouve ça grave comme accusation, il en était très mal pendant de longs moments. Je ne critiquais pas votre écrit mais la façon de lier la manipulation à une perversité je ne comprenais pas bien et je sais qu’on en parle de plus en plus … Alors concernant les 75% et bien oui, elle lui as dit tu as 75% de ses symptômes…. Or je le connais c’est faux, il a tout essayé pour être très présentable et elle prétendait que le fait de se mettre en valeur jouait contre lui. J’essaie de comprendre pourquoi un nom si violent alors que manipulateur suffirait.

  4. MAYOYOY87,
    Peut-être que votre ami est réellement un pervers narcissique et qu’il vous a fait croire qu’il était la victime où alors vous ne connaissait pas la réelle définition d’un pervers narcissique.
    Mais votre premier commentaire est très excessif en plus d’être incompréhensible, je dirais… À 75% 😉
    Cordialement,
    John.

  5. Hello Mel,

    Je suis tombé par hasard sur ton blog et ça doit faire en tout cas deux bonnes heures que j’enchaîne tes articles. Premièrement, je tiens vraiment à te remercier car ceux-ci sont d’une part très bien écrit et également criant de vérité pour moi… Tu as réussi à formuler mes interrogations et en plus à leur donner des réponses qui ont énormément de sens.

    J’ai découvert mon zébrage il y a peu lors d’une rupture que je croyais « normale » mais après la lecture de tes pépites, il semblerait que je sois bel et bien tombé sous le joug d’une PN sacrément habile…

    Enfin bref! J’étais dans une de ces fameuses phases down mais grâce à toi, ma bonne humeur est de retour!

    Merci encore pour ton partage, cela fait du bien de ne pas sentir seul 🙂

    Bonne continuation!

  6. Bonjour je viens de rompre, après presque trente ans avec un manipulateur… je ne sais pas c’est un PN, mais il a plus de 20 caractéristiques… Mais je m’interroge car je n’ai jamais pu intégrer qu’il n’ait pas d’émotions… On me dit parfois qu’il joue la comédie, mais je n’arrive pas à le croire… Lui parle depuis quelques mois de HP… Il dit qu’il en est un, et qu’il a compris qui il était… Hypersensibilité, QI important… Mais comment intégrer ses caractéristiques PN? Je me pose beaucoup de questions… Quand il regrette, qu’il demande pardon, qu’il admet m’avoir fait souffrir et qu’il dit que c’est à cause de sa propre souffrance, que faut(il en penser?
    Merci pour votre éclairage?

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