Comment dire qu’on est HPI, surdoué ?

Comment dire qu'on est HPI

Suivez le zèbre a testé pour vous : comment dire qu’on est surdoué ?

– Comment annoncer à ses collègues de travail ou à son employeur qu’on est surdoué ?
– Comment expliquer à ses parents qu’on est zèbre ?
– Comment dire à ses amis qu’on est haut potentiel ?

Je sais à quel point ce sujet vous tient à coeur. Vous êtes nombreux à m’avoir demandé d’écrire un article à ce sujet : Dire à ses proches qu’on est surdoué

Déjà quand on découvre qu’on est un adulte surdoué, c’est souvent la grosse surprise. Alors le dire aux autres, c’est encore un autre level !

La peur du jugement quand on apprend qu’on est surdoué

Souvent quand on l’apprend, on en sait pas trop quoi en faire ! Bon, je suis zèbre ok. Il faut déjà se l’approprier. Et puis, en France, c’est pas évident d’aborder le sujet ! On pense souvent que surdoué = plus intelligent = Einstein, Descartes ou Steve Jobs alors que c’est simplement un fonctionnement neurologique différent. J’aime bien expliquer aux gens que peut-être que leur fleuriste, leur boulangère, leur prof, le maître nageur de leur piscine municipale est Zèbre. La diversité professionnelle, ça semble être plus parlant q’un long cours théorique ! Alors comment dire qu’on est Zèbre sans forcément être un génie des maths ?

Déjà, il faut s’affranchir de la peur du jugement, de la peur du regard des autres, de la peur de passer pour quelqu’un de prétentieux, de la peur d’être maladroit et aussi d’être incompris.

PAS DE PANIQUE ! Je suis devenue la reine du coming-out, zèbre mais pas que !

Comment faire pour dire aux autres que je suis surdouée ?

Vous connaissez mon goût pour l’empirisme ! 😉 

Je me souviens d’un week-end à Lyon. Nous étions au resto avec une amie de Julia (amour de ma vie présente), que je connais depuis quelques temps. Au détour d’un sujet, Julia a évoqué le blog et on en est venu à parler naturellement des zèbres, des surdoués, du haut potentiel.  Son amie ne savait pas et ne se doutait pas que j’étais zèbre. Je dois pas avoir un physique de zèbre ! Elle ne savait d’ailleurs pas très bien à quoi ça correspondait finalement…

J’ai l’avantage d’avoir le blog. Au début, je ne savais pas trop comment aborder le sujet sans que ça fasse, « t’as passé une bonne journée ? Au fait, je suis zèbre. » Le blog a été un excelle,t prétexte pour en parler et finalement me libérer. Maintenant , je suis beaucoup plus à l’aise avec le fait d’être un haut potentiel et ça fait tellement partie de moi que je n’en ai plus du tout « honte« .

Depuis que je le sais ça a à la fois tout changé, et en même temps, dans ma vie quotidienne, je l’oublie. C’est comme le fait que je sois une femme, ou que j’ai les cheveux châtains, je sais de quelle couleur sont mes cheveux mais je ne m’arrête quasi jamais dessus hormis quand je vais chez le coiffeur ! Ça fait partie de moi, c’est comme ça.

Faut-il faire son coming-out quand on est zèbre ?

Il n’y a pas vraiment de réponse, je pense surtout que c’est au feeling ! Il y a des discussions qui prêtent à la confidence… Et parfois ça vient naturellement dans une conversation.

Je me souviens que quand je l’ai su, au début, j’avais envie et besoin de comprendre. J’avais aussi envie de le crier sur tous les toits,

Je suis zèbre, je suis zèbre, je suis zèèèèèèèèbre !

Comme pour me justifier, comme pour dire, NON, NON, c’est pas moi qui suis folle, c’est juste vous qui ne me comprenez pas

Et puis petit à petit, j’ai appris à me connaître, à me comprendre. Et je n’avais plus besoin de me justifier de qui j’étais, de la personne que j’étais mais également de mes multi-potentiels.

Par contre quand l’occasion se présente, si je le sens, je le dis… Si après j’ai pas envie d’en parler, je le garde pour moi… Quoiqu’il en soit ça reste toujours mon choix.

Dire qu’on est zèbre à sa famille

Comment dire à ses parents qu’on est surdoué ? La famille, je trouve que c’est le plus compliqué ! C’est super bizarre quand on se rend compte qu’on est surdouée à 30ans, de dire à ses parents, bon ben voilà, je viens de passer les tests et je suis un zèbre.

Vous êtes un peu en train de dire aux deux personnes qui sont censées vous connaître le mieux, qui vous ont mis au Monde, que ça fait 30 ans qu’ils ne vous connaissent pas vraiment

Et en plus souvent, quand vous expliquez le pourquoi du comment vous vous êtes rendus compte que vous étiez un haut potentiel, ils culpabilisent, parce que justement ils n’ont pas su s’en rendre compte quand vous étiez petits. Comme s’ils avaient raté un truc ! Ben oui, ils ont raté, le fait que vous étiez un enfant précoce… Qui dit adulte surdoué, dit enfant surdoué ! Mais, il n’y a pas à culpabiliser. Vos parents ne sont pas forcément fins psychologues. Et y a 10 ans, 20 ans ,30 ans, 40 ans, on n’était pas vraiment à l’apogée de la psychologie ! On a démocratisé la douance seulement ces dernières années.

Dans la vie, il n’y a pas de hasard, il y a que des rendez-vous !

Si vous n’avez pas su plus tôt que vous étiez zèbre, c’est que vous n’étiez pas prêt ou pas disposé à le découvrir. Et puis, le fait de ne pas le savoir jeune vous a aussi aidé à vous construire d’une certaine manière, et aujourd’hui, c’est une force ! C’est une étape, voire une épreuve de découvrir qu’on est surdoué. Mais c’est aussi une révélation. Une nouvelle vie et surtout, de nouvelles perspectives.

Annoncer qu’on est zèbre à ses parents, plusieurs réactions possibles

Quoiqu’il en soit, si vous avez envie de leur dire, dîtes-leur. Suite à cela, plusieurs options :
– ils sont ouverts, bienveillants, ils vous écoutent, vous comprennent, vous soutiennent et c’est génial.
– ils sont surpris, ne connaissent pas trop ce que ça implique, vous leur expliquez, ils sont un peu dépassés mais vous comprennent et vous soutiennent, et c’est déjà très cool.
– ils ne comprennent pas ce que vous dîtes et n’y prêtent pas attention > changer de parents.
Non je plaisante. Vous n’avez rien à prouver, soyez vous-même.

Bref, s’ils ne comprennent pas, c’est pas grave. Vous avez d’autres personnes autour de vous qui peuvent comprendre et être à l’écoute. Souvent, nos amis nous connaissent plus intimement que notre famille. 

Je sais que pour ma part, beaucoup de mes amis n’ont pas été surpris quand ils ont su que j’étais zèbre.

Dire qu’on est zèbre à ses amis

J’ai trouvé que c’était plus simple d’en parler avec mes amis. Déjà parce que certains de mes amis ont suivi mon parcours en live ! Mes questionnements, le fait de trouver un psy spécialisé dans la douance, les différents tests, etc… J’étais déjà bien entourée.

Et puis il y a les amis avec qui j’ai développé des relations particulières en découvrant qu’eux-mêmes étaient zèbres ! Ils m’ont aussi beaucoup aidée et accompagnée dans cette quête de moi-même.

Il y a aussi les amis qui ne réagissent pas plus que ça, qui n’en font pas cas. Un peu comme la famille ! Soit parce qu’ils ne comprennent pas vraiment ce que ça change (et finalement c’est peut-être aussi cool parce que leur regard sur vous ne change pas !) soit parce que ça les dépasse et les renvoie peut-être à leur propre questionnement, donc ils préfèrent être dans le déni et ne pas en parler avec vous. Mais, ça ne veut pas dire qu’ils ne vous aiment plus ou ne sont pas disponibles pour vous.

Il y a aussi ceux qui se posent des questions sur leur frère, leur soeur, leur copain, eux-mêmes… Et au delà de la définition du surdoué, c’est sur la notion de différence que la discussion avance, et sur le fait d’être soi-même et d’être bien. 🙂

Faut-il dire qu’on est surdoué à son employeur ?

Le coming-out de zèbre au travail !

Forcément quand on dit être soi-même, on pense aussi au côté professionnel ! est-ce que l’on doit dire à son employeur qu’on est un profil atypique ? un surdoué, un zèbre, un haut potentiel ?

Là encore, je pense que ça dépend de chacun. Par le passé, ça a pu parfois être difficile au travail parce que je me sentais incomprise. En même temps à l’époque, je ne savais pas que j’étais un profil atypique.

Le zèbre caché derrière le profil atypique !

Je m’en doutais, mais je n’avais pas mis le terme haut potentiel, surdouée, zèbre, sur ce profil atypique ! Aujourd’hui, je choisis mes entreprises en fonction de mes valeurs et aussi du fait que je sois haut potentiel. Et à l’entretien, j’en parle. Je préviens que je suis un profil atypique et j’insiste sur ce qui est important pour moi en tant que collaboratrice. 

J’ai décidé de jouer la carte de la transparence parce que je suis comme ça. J’aime l’honnêteté, la transparence, l’égalité, la justice, et que l’être humain soit au coeur de l’entreprise. Cela me permet de ne pas jouer un rôle et ça permet au recruteur de savoir à qui il a à faire.

Ensuite à chacun de prendre ses responsabilités, moi j’ai pris la température, et ça me permet aussi de voir la vraie philosophie de l’entreprise.

Est-ce que les employeurs sont à l’aise avec la notion de zèbre ?

Est-ce que cette entreprise est dimensionnée pour les profils comme le mien ? Pour plus d’infos lire l’article > Quelle place pour les profils atypiques en entreprise ?

Parce qu’aujourd’hui il est hors de question que je me cache derrière un faux self et que j’essaye d’être une autre que celle que je suis réellement.
Conclusion : comme toujours, il n’y pas de règle, pas de vérité, juste des individus, différents, qui n’ont pas tous les mêmes attentes ou la même sensibilité… 

Écouter votre petite voix intérieure, c’est votre meilleur guide !

Tu peux aussi trouver plus d’infos, de ressources et d’outils sur le Haut Potentiel dans le livre témoignage de Mel POINAS. Avec beaucoup d’humour, Mel raconte la découverte de son Haut Potentiel et les routines qu’elle a mis en place pour enfin trouver sa place !

Le livre

Écrit par une HPI !
Un témoignage et des solutions concrètes pour découvrir, comprendre et apprendre à vivre en étant HPI.

Pour aller plus loin, lire aussi

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  1. pas facile de découvrir à 30 ans sa douance, imaginez à 44! Merci pour cet article qui fait échos à mon propre questionnement. Mon coming out, je l’ai fait en famille et avec les amis, sur le ton de l’humour avec tous, sauf avec mes parents car ils ont suivis mon cheminement, ainsi que celui de deux de mes enfants. Si ma mince expérience peut servir….
    Quoiqu’il en soit votre blog est bien réconfortant et permet, quand le quotidien gêne parfois la recherche de soi-même, de remettre mes réflexions sur les railles (de quoi je ne sais pas encore bien, mais j’y vais!).
    A bientôt.
    Isabelle

  2. J’ai eu un travail où la bienveillance a duré assez longtemps et mon autonomie et mes compétences étaient respectées (je ne connaissais pas mon statut d’atypique d’ailleurs). Puis un changement de direction a tout flingué et je me suis sauvée pour créer mon boulot … ailleurs … autrement. Et j’ai découvert que j’étais zebre à 58 ans. Je commence à le dire (et je viens de partager le post…). Le plus dur : la bêtise humaine, la méchanceté gratuite, les abus de pouvoir, ceux qui se la pètent. J’ai notamment une voisine très toxique … qui tente soit de me dénigrer, soit de m’isoler. Je vais peut-être à nouveau repartir alors que ce que j’ai construit et créé est bien joli. Contente de vous lire ! Murielle

  3. Merci pour cet article! A 40 ans, je suis toujours en train de rechercher régulièrement mon GPS interne. Zèbre ou pas zèbre, le chemin reste à faire pour approvoiser ce décalage avec l’environnement et la majorité des êtres qui nous entourent.
    Apprendre à faire de ce qu’on est une force..!
    Florence

  4. Bonjour à tous,
    Actuellement, seuls mes parents, mon frère et ma sœur, mon petit ami, ma thérapeute et une ancienne collègue (qui a un fils comme moi) savent que je suis surdouée. J’ai l’impression qu’à part eux, tous autour de moi sont à mille lieues de réaliser qu’il y a des gens comme nous et se doutent encore moins que cela puisse poser problème ou être une souffrance. Je ne pense pas qu’il soit judicieux de crier mon identité sur tous les toits, car certains ne comprendraient pas, mais récemment je me suis dit que je souhaiterais tout de même en parler à quelques ami(e)s…. le problème est que j’ai extrêmement peur qu’on pense que je veux me mettre en avant ou pire, que j’essaie de les rabaisser. J’aimerais juste qu’ils sachent, pour qu’ils ne prêtent plus attention à mes comportements parfois «  bizarres », pour que je me sente parfaitement acceptée et que je puisse être moi-même à 100% sans aucune peur.

  5. Bonjour Mel,
    Comme je le disais sur votre page FB quand je l’ai appris il y a 1 an j’ai eu envie de le crier sur les toits comme une justification à certains de mes comportements, de ma susceptibilité, de mes angoisses aussi et je l’ai fait…………….et quand ce n’était pas moi c’était mon mari qui le disait à sa famille entre autre.Ma mère a essayé de comprendre (elle a 85 ans), mon père lui parle de réincarnation (il est zèbre aussi je pense), mon frère a compris et cela l’a poussé à chercher pour lui aussi quant à ma belle-famille et bien ma belle-mère a fait mine de comprendre mais depuis elle ne met plus les pieds chez nous et m’a dit il y a quelques semaines en gros que je rendrais son fils malheureux et ça la conforte dans l’idée que j’étais folle, mon beau-père a eu l’air de s’en foutre royalement quant à lui ! Les amis j’en ai peu, certains ont compris, d’autres non mais surtout j’ai perdu mon amie de 40 ans qui m’a accompagnée dans mes recherches mais qui ensuite n’a plus assumé, ne voyait pas ce que ça changeait pour moi et n’a pas accepté ma « libération ». Elle pensait que maintenant que je savais je devais lutter contre et m’adapter au monde !
    Par contre nous qui venons de traverser une maladie grave et une opération (enfin mon mari) avons passé beaucoup de temps en rdv médicaux et là je me suis rendue compte que mes questions, ma façon de penser, ma connaissance sur pas mal de choses étonnaient les médecins à qui je me suis sentie obligée d’avouer que j’étais « différente ».
    En bref, j’ai encore du mal à savoir à qui le dire et ne pas le dire, j’ai encore du mal à ne pas me justifier sans cesse et si mon mari a été fier sur le coup de ma découverte et m’a accompagnée sur ce parcours, à chaque dispute il finit par dire « oui je sais je suis débile MOI, je peux pas comprendre » et ça me blesse énormément………..Peut-être est-il difficile pour un homme de découvrir que sa femme est HP ?
    Voilà en ce qui concerne ma petite expérience de femme de 51 ans qui a découvert sa surdouance à 50 ans !
    Bonne journée à vous

  6. Bon, comme je te l’ai dit sur Instagram ça fait 2 jours que je parcours les articles. A part que je ne suis pas toi, j’aurai pu écrire tout ça… A la différence près c’est que j’ai été identifiée surdouée/précoce etc… vers 4 ans… Sauf que mon hypersensibilité, empathie démesurée et dépendance affective m’ont collé dans la cas « immature » parce que à l’époque ils dénichaient seulement le potentiel scolaire… Le ressenti d’un enfant de 4 ans qu’est ce qu’on peut bien avoir a en faire ? du coup j’ai grandit avec « je suis assez intelligente pour sauter une classe mais trop immature pour sauter une classe » … Donc je me suis autocollée dans la case des atypiques mal dans leur peau instables mais surtout pas intelligent… Et je regardais avec des yeux grands comme des soucoupes les 2/3 pauvres personnes qui ont essayé de débusquer mon potentiel…

    Tout a commencé à se mettre en place un peu comme toi vers mes 30 ans, quand l’hypersensibilité est devenu un sujet moins tabou, et que, en déliant les langues avec mes amies qui étaient pour moi des âmes sœurs on s’est aperçue que nous étions zèbres nous même ou maman de zèbre pour certaines, d’où le fait qu’elle savaient exactement quoi me dire, quand et comment…

    Petit à petit je remets les pièces du puzzle en place, et j’apprends à être moi*. Je me renseigne sur le sujet et surtout, j’essaie de faire confiance à mon intuition, mon corps et mon ressenti… Moi qui ne savais pas lever le pied et pas dire non… Mes ulcères à répétitions et ma maladie autoimmune on apprend à cohabiter avec l’hypersenibilité et le cerveau bouillonnant…

    Vla le chantier dedans mon petit moi !!!

    Encore merci pour ce blog une vraie mine d’info <3

  7. Bonjour, ma psychologue et une autre de thérapeutes sont certaines que je suis HP. J’ai cherché un moyen de me faire diagnostiquer, de passer des tests sur Paris mais je ne trouve que des évaluations qui vont de 200 à 400€.
    Est-ce que je peux savoir quels tests vous avez passé? Étaient-ils payant ?
    Merci beaucoup

    1. Bonjour Anaïd,
      Les tests ont effectivement un coût qui peut sembler élevé mais c’est un vrai travail pour le psychologue qui prend du temps avec vous et également pour analyser les résultats du test et vous les restituer.
      EN Savoie les tests coûtent autour de 300 euros, parfois 350 euros.
      Le WAIS est toujours payant car il est passé obligatoirement avec un psychologue formé au haut potentiel.
      Bonne journée,
      Mél

  8. Le problème, c’est justement qu’un haut QI ne justifie pas les comportements ou la personnalité de quelqu’un. Donc pourquoi en parler ? Votre entourage vous connaît déjà. C’est un faux problème. Le vrai problème c’est plutôt : quand va-t-on arrêter d’imputer toutes les caractéristiques du monde aux 2% de la population qui réussissent des tests ? L’empathie, l’ hypersensibilité, etc… Mais ça sort d’où ? Où sont les preuves que nous possédons ce caractéristiques ? Bien sûr que je n’en parle pas à un entretien d’embauche. Une entreprise qui accorderait de l’importance à cela, je la fuierais.

  9. Hello !
    Je ne vois plus de posts depuis 2020 sur cette page.
    Je remarque d’ailleurs que les posts sont par page et du coup on s’y retrouve pas très bien. J’ai posté avant-hier et je ne retrouve plus ma page. 😉
    Je n’ai pas été testée. Mais je présente tous les symptômes !
    Depuis petite à l’école où je « montais » des spectacles courts, au collège aussi, puis à la fac.
    Au boulot, je suis celle qui sort du lot : le clown de service, apprend vite, très vite, gère les sujets du début à la fin en creusant pour avoir les réponses, empathie et neutralité, a besoin de se retirer (télétravail et arrêts maladie), le DRH dit que je pourrais faire mon job en temps partiel. Mais fragile, dépressive, avec ce besoin d’être occupée tout le temps, l’ennui qui arrive vite. Une vie sociale quasi inexistante (crises d’angoisse durant plus de 15 ans) et un besoin de solitude pour me ressourcer.
    J’aimerais pouvoir échanger avec des personnes qui se reconnaissent dans les profils publiés et dan le mien.
    A bientôt !
    Céline

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